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Les prix des propriétés de luxe de Montréal affichent une croissance dans les deux chiffres, dépassant ceux de Toronto et de Vancouver depuis le début de la pandémie de COVID-19

Les prix des propriétés de luxe de Montréal affichent une croissance dans les deux chiffres, dépassant ceux de Toronto et de Vancouver depuis le début de la pandémie de COVID-19

  • La Ville de Montréal affiche la plus forte appréciation du prix des maisons luxueuses au Canada, avec une croissance de 15,9 % d’une année sur l’autre
  • Les copropriétés de luxe de Vancouver enregistrent une tendance inverse aux autres marchés au pays affichant une hausse dans les deux chiffres
  • La demande affaiblie pour les copropriétés de luxe crée des occasions pour les acheteurs de la région du Grand Toronto
  • Un marché des propriétés de luxe équilibré émerge au sein du marché immobilier effervescent d’Ottawa

TORONTO, le 29 septembre 2020 – Selon une étude de Royal LePage, le prix médian d’une maison et d’une copropriété de luxe s’est accru dans plusieurs régions, sauf quelques exceptions, depuis le début du bouleversement qu’a connu le marché immobilier au Canada en raison de la pandémie de COVID-19, à la mi-mars[1]. Le seuil de prix le plus bas servant à définir une propriété de luxe varie grandement d’une région à l’autre, de 1 000 000 $ pour une copropriété de luxe à Montréal, à 3 500 000 $ pour une maison détachée de luxe dans le Grand Vancouver[2].

À l’échelle nationale, une maison et une copropriété de luxe d’entrée de gamme est définie au prix de 2 000 000 $ et de 1 000 000 $, respectivement. Dans l’ensemble au Canada, le prix médian national d’une maison de luxe s’est accru de 1 % d’une année sur l’autre pour atteindre 2 500 000 $, tandis que le prix médian d’une copropriété de luxe est demeuré stable à 1 250 000 $. Les récentes hausses de prix abruptes sur l’ensemble des prix de l’immobilier résidentiel au pays ont poussé plus de propriétés au-dessus du seuil de prix minimal, faisant augmenter le nombre de propriétés admises dans le segment du luxe.

Dans quatre des plus grands centres urbains du pays, le prix médian d’une maison de prestige a affiché une saine appréciation par rapport à l’année précédente depuis la mi-mars. Le prix médian d’une copropriété du même segment a connu une modeste baisse au cours de la même période dans les régions de Toronto et Montréal, tandis qu’il affiche une hausse dans les deux chiffres à Vancouver.

« Au cours des dernières années, les baby-boomers et milléniaux de la tranche d’âge supérieure ont migré vers les banlieues et plus petites villes, influencés respectivement par la retraite et des familles grandissantes. La quête pour un espace abordable a été suralimentée par la pandémie, et aucun type de propriété n’en a bénéficié autant que les spacieuses propriétés détachées », a dit Phil Soper, président et chef de la direction de Royal LePage. « La demande excède grandement l’offre en ce qui a trait aux propriétés détachées au Canada. Mais on ne peut en dire autant des copropriétés de luxe, alors que certains propriétaires ont été découragés par les restrictions d’accès aux espaces communs, comme les salles de réception et les piscines, mais aussi par la plus forte densité propre aux copropriétés de façon générale. Conséquemment, le segment de la copropriété s’est équilibré. Les gens recherchent des unités spacieuses possiblement aussi vastes que ceux qui prévoient troquer la vie élégante des condos pour la banlieue. »

Les données relatives au prix, qui comprennent à la fois celles des propriétés du marché de la revente et celles des nouvelles constructions, sont fournies par la société soeur de Royal LePage, RPS Solutions pour propriétés résidentielles, une société d’évaluation canadienne de premier plan.

Région du Grand Toronto

Depuis le début de la pandémie[3], le prix médian d’une maison de luxe dans la ville de Toronto a augmenté de 5,4 % d’une année sur l’autre pour atteindre 3 187 500 $, tandis que le prix médian d’une copropriété de luxe a diminué de 1,6 % d’une année sur l’autre pour s’établir à 1 870 000 $. Au cours de la même période, le prix médian d’une maison de luxe dans la région du Grand Toronto a connu une hausse de 5,9 % par rapport à l’année précédente, se chiffrant à 3 177 500 $, tandis que celui d’une copropriété du même segment de marché diminuait de 3,6 % par rapport à l’année précédente pour se fixer à 1 830 000 $.

« Le marché immobilier de luxe de Toronto a fait preuve de résilience face à la pandémie mondiale. La demande a été stimulée par un faible inventaire, de faibles taux d’intérêt et une nouvelle emphase sur un mode de vie qui correspond à la nouvelle réalité », dit Cailey Heaps, directrice générale et courtier immobilier, Heaps Estrin Team, à l’agence Royal LePage Real Estate Services.

Mme Heaps ajoute que les acheteurs de luxe sont focalisés sur le mode de vie lorsqu’ils recherchent leur propriété idéale. Avec les projets de voyage mis de côté jusqu’à nouvel ordre et le télétravail devenu une nouvelle norme pour plusieurs, les caractéristiques telles qu’un bureau à domicile, de l’espace extérieur, une piscine et l’accessibilité piétonnière deviennent de plus en plus importantes dans les critères de recherche. Les propriétés inscrites au juste prix dans les quartiers établis comme Rosedale, Leaside et Lawrence Park se vendent souvent en quelques jours. Les scénarios d’offres multiples surviennent encore mais dans une moindre mesure qu’avant la pandémie, offrant aux acheteurs l’occasion d’acheter tandis que la concurrence est un peu plus raisonnable.

« Le marché des copropriétés de luxe a été confronté à quelques défis au cours des derniers mois. Les nouvelles règles entourant les locations de courte durée, un inventaire accru et le risque plus grand qui vient avec les aires communes ont fait en sorte que le marché de la copropriété n’a pas performé aussi bien que celui des maisons détachées. Cela dit, les acheteurs trouveront un plus grand choix d’unités que sur le marché des maisons unifamiliales », dit Mme Heaps.

Selon cette dernière, bien que tous les segments d’acheteurs de maisons de luxe soient actifs à l’heure actuelle, les baby-boomers sont pour leur part plus tranquilles cette année que par les années passées. Cela dit, les vendeurs ont souvent la possibilité de se loger au chalet ou dans une résidence secondaire comme option additionnelle durant la pandémie.

En se tournant vers la balance de l’année, Mme Heaps observe que la demande actuelle ralentit, ce qui est typique de l’activité du quatrième trimestre.

Région du Grand Montréal

Depuis le début de la pandémie[4], le prix médian d’une maison de luxe dans la ville de Montréal a crû de 15,9 % d’une année sur l’autre pour atteindre 1 975 000 $, tandis que le prix médian d’une copropriété de luxe a connu une légère baisse de 1,5 % d’une année sur l’autre pour s’établir à 1 254 000 $ durant la même période.[5] L’appréciation dans les deux chiffres du marché de l’immobilier de luxe montréalais est la plus forte hausse observée pour ces deux types de propriétés à l’échelle des régions étudiées.

Selon Marie-Yvonne Paint, courtier immobilier agréé DA spécialisée dans les inscriptions de luxe chez Royal LePage Heritage à Montréal, la demande pour des propriétés et des terrains plus spacieux dans la région a alimenté la flambée des prix dans ce segment de marché depuis la relance des activités immobilières le 11 mai dernier. Cette demande soutenue a exercé une pression à la hausse sur les prix de l’immobilier de prestige de la ville. Bien que les propriétés dans le segment de prix supérieur observent une demande plus modeste, les inscriptions entre 1 500 000 $ et 3 000 000 $ se vendent rapidement. Mme Paint note que malgré les prix à la hausse, le marché de l’immobilier de luxe se porte bien actuellement, présentant un meilleur équilibre entre le nombre d’acheteurs et de vendeurs qu’au cours des dernières années.

« Les acheteurs de copropriétés de prestige trouveront une belle sélection au cœur de Montréal, un secteur moins recherché en raison de la COVID-19, indique-t-elle. Nous continuons d’assister à un exode vers les banlieues; le nombre de nouvelles inscriptions dans la catégorie des copropriétés de luxe est à la hausse tandis que le nombre d’acheteurs attirés vers de plus grands espaces extérieurs continue de croître. »

Mme Paint fait remarquer que le marché a connu une tendance inverse il y a cinq ans, lorsque les acheteurs cherchaient à tirer un maximum de la vie urbaine en optant pour une copropriété au centre-ville. Elle croit que cette tendance s’essoufflera naturellement et que le marché retrouvera un certain équilibre, offrant des occasions d’affaires plus équitables aux acheteurs.

Mme Paint ajoute qu’elle demeure très optimiste pour le reste de 2020, malgré la poursuite du ralentissement économique à laquelle nous pouvons nous attendre.

« Il y a des préoccupations liées aux pertes d’emploi et à l’économie, mais généralement cela a des impacts limités pour les acheteurs de propriétés luxueuses. Le facteur le plus important est la continuité des faibles taux d’intérêt, qui contribuent à alimenter le marché et la demande », affirme Mme Paint.

Dans la grande région, le manque d’inventaire dans le segment des maisons détachées, jumelé à la demande refoulée, a poussé les prix à la hausse dans la catégorie de luxe, parallèlement à l’ensemble du marché immobilier résidentiel.

Depuis le début de la pandémie, le prix médian d’une maison de luxe dans la région du Grand Montréal a crû de 4,6 % d’une année sur l’autre pour atteindre 1 925 000 $, tandis que le prix médian d’une copropriété de luxe a connu une baisse de 2 % d’une année sur l’autre pour s’établir à 1 254 000 $ durant la même période.

Selon Suzanne Havard Grisé, courtier immobilier agréé DA pour Royal LePage Privilège à Saint-Bruno-de-Montarville, sur la Rive-Sud de Montréal, des secteurs comme Brossard, Longueuil, Boucherville, Candiac, Carignan et Saint-Bruno-de-Montarville ont vu de nombreux cas d’offres multiples durant la majeure partie du printemps et de l’été.

« Le fait d’être confinés à la maison pendant de longs mois a indéniablement influencé les propriétaires de maison, qui cherchent aujourd’hui à améliorer leur mode de vie, ce qui pour plusieurs commence avec une demeure plus spacieuse. La demande refoulée est considérable auprès de ceux qui ont dû mettre en pause leur projet d’achat de même qu’auprès de ceux qui ont constaté s’attendre désormais à plus de leur résidence. Dès le mois de mai, les activités ont repris en force, et rien ne laisse présager qu’un ralentissement est en vue du côté du segment des maisons détachées de luxe. »

Mme Havard Grisé remarque que la demande commence à ralentir au sein du marché des copropriétés de la région et que le nombre d’inscriptions augmente, ce qui crée une légère pression à la baisse sur les prix. Toutefois, 2019 fût une année record pour les ventes, toutes catégories de propriétés confondues, avec un solide marché de vendeurs. Nous pourrions nous attendre au retour d’un certain équilibre dans le segment des copropriétés de luxe en 2021, quoique ces unités, et particulièrement celles situées à l’extérieur du centre de Montréal, offrent une plus grande superficie habitable pour le même prix et, par conséquent, plus de valeur dans le contexte de la recherche d’espace engendré par la pandémie.

Grand Vancouver

Le marché des propriétés de prestige de Vancouver est bien en selle sur la voie de la reprise. Le prix médian d’une propriété de luxe affiche une appréciation saine d’une année sur l’autre, augmentant de 3,9 % dans la ville de Vancouver même, pour atteindre 4 010 000 $, et de 8,6 % dans le Grand Vancouver, pour se fixer à 4 180 000 $ depuis le début de la pandémie à la mi-mars. Au cours de la même période, le prix médian d’une copropriété de luxe a connu une hausse de 11,2 %, pour s’établir à 2 065 000 $, dans la ville de Vancouver et de 10 %, atteignant 2 035 000 $, dans le Grand Vancouver.

Le rythme soutenu de l’appréciation des prix dans le segment des copropriétés de luxe par rapport aux maisons de la même catégorie à Vancouver est attribuable à l’accessibilité relative de ce type de propriétés. La hausse du prix médian des maisons de prestige dans la couronne du Lower Mainland du Grand Vancouver est le reflet des acheteurs profitant des prix moins élevés au pied carré pour se procurer une propriété de luxe plus spacieuse.

« Le marché immobilier de Vancouver reprend tranquillement des forces dans le segment des propriétés d’entrée de gamme et cette tendance émerge maintenant dans celui des propriétés de luxe. Bien que l’activité ait été soutenue pour les résidences de moins de 4 000 000 $, ce n’est qu’au cours des derniers mois que nous avons observé des signes évidents d’une augmentation de la demande et d’une appréciation du prix pour les propriétés de plus de 5 000 000 $ », remarque Jason Soprovich, courtier immobilier pour l’agence Royal LePage Sussex.

La récente montée des prix des maisons de prestige d’une année sur l’autre est perçue comme une reprise de la valeur nette après une correction durable de l’affaissement des prix et de faibles ventes. En plus des conséquences de la correction du marché de la région, les propriétés de luxe les plus haut de gamme du secteur ont subi une importante diminution de prix causée par la politique fiscale ciblant les résidences d’une valeur de plus de 3 000 000 $.

« La confiance des consommateurs est de retour, mais les acheteurs demeurent sensibles au prix. La meilleure stratégie pour une vente réussie est d’établir un prix avec justesse dès le départ », explique le courtier.

Les valeurs médianes en dollars comparables des types de propriétés respectifs dans la ville de Vancouver et sa grande région reflètent la faiblesse des ventes au seuil de prix minimal définissant le segment du luxe hors du centre-ville.

M. Soprovich ajoute que si les taux d’intérêt demeurent bas et que la conjoncture économique reste stable, il s’attend à ce que la demande latente pour des propriétés de luxe se poursuive pour le reste de l’année.

« Les acheteurs ont profité de la baisse des prix des propriétés de prestige de moins de 4 000 000 $, mais ces occasions se font plus rares. Actuellement, l’écart entre le prix demandé et le prix de vente rétrécit rapidement pour les résidences inscrites à plus de 5 000 000 $, mais on trouve toujours d’excellentes affaires sur le marché. »

Ottawa

Le prix médian d’une propriété de luxe à Ottawa a augmenté de 2,9 % par rapport à l’année précédente pour s’établir à 1 800 000 $ depuis que la COVID-19 a bouleversé le marché immobilier au Canada, à la mi-mars[6].

« Bien que le marché immobilier d’Ottawa continue à afficher une appréciation du prix non négligeable, l’augmentation des prix dans le secteur de l’immobilier de luxe demeure relativement plus modeste, observe Charles Sezlik, courtier immobilier pour l’agence Royal LePage Team Realty. Dans ce segment, les gros chiffres se retrouvent plutôt du côté de la demande. Depuis le début de l’année, les ventes de propriétés de luxe de plus de 1 500 000 $ ont doublé comparativement à la même période l’an dernier. »

Le courtier ajoute que de nombreux acheteurs de propriétés luxueuses sont des propriétaires locaux qui décident de faire le saut vers une résidence plus spacieuse où il fera bon vivre, travailler et s’amuser.

« Bon nombre d’acheteurs veulent demeurer dans leur quartier bien établi et au cœur de la ville mais veulent aussi disposer d’un bureau à domicile et d’une piscine. En raison des longs délais causés par les carnets de commandes déjà bien garnis des entrepreneurs, ils sont en quête d’une propriété déjà pourvue de ces caractéristiques, explique M. Sezlik. Cette demande alimente les ventes dans le segment d’entrée de gamme des propriétés de prestige, et exerce une pression à la hausse sur les prix. »

Alors qu’il est de plus en plus difficile d’accéder à la propriété dans la région de la Capitale nationale, la définition du luxe est en mutation depuis quelques années.

« Partout en ville, des maisons qui n’auraient jamais été considérées comme “luxueuses” il y a cinq ans font maintenant partie de ce segment. L’appréciation des prix solide et constante des dernières années a déplacé les propriétés plus convoitées des bons quartiers dans le marché de prestige, à mesure que les acheteurs d’Ottawa y ont de moins en moins accès », a ajouté M. Sezlik.

Selon le courtier immobilier, la demande actuelle pour des propriétés de luxe demeure saine à Ottawa.

« Je m’attends à ce que nous continuions à recevoir des offres multiples pour des demeures évaluées à environ 1 500 000 $ pour le reste de l’année si la conjoncture économique et les taux d’intérêt demeurent les mêmes », prédit-il.

Marché immobilier de luxe des principaux marchés du Canada

Région Segment 2019 (15 mars – 9 septembre) 2020 (15 mars – 9 septembre) Variation d’une année sur l’autre (%)
Canada Détachée 2 475 000 $ 2 500 000 $ 1,0 %
Canada Copropriété 1 250 748 $ 1 250 400 $ 0,0 %
Ville de Toronto Détachée 3 025 000 $ 3 187 500 $ 5,4 %
Ville de Toronto Copropriété 1 900 000 $ 1 870 000 $ -1,6 %
Grand Toronto Détachée 3 000 000 $  3 177 500 $ 5,9 %
Grand Toronto Copropriété 1 898 500 $ 1 830 000 $ -3,6 %
Ville de Montréal Détachée 1 703 500 $ 1 975 000 $ 15,9 %
Montréal Copropriété 1 272 500 $ 1 254 000 $ -1,5 %
Grand Montréal Détachée 1 840 000 $ 1 925 000 $ 4,6 %
Grand Montréal Copropriété 1 280 000 $ 1 254 000 $ -2,0 %
Vancouver Détachée 3 860 000 $ 4 010 000 $ 3,9 %
Vancouver Copropriété 1 857 000 $ 2 065 000 $ 11,2 %
Grand Vancouver Détachée 3 850 000 $ 4 180 000 $ 8,6 %
Grand Vancouver Copropriété 1 850 000 $ 2 035 000 $ 10,0 %
Ottawa Détachée 1 750 000 $ 1 800 000 $ 2,9 %

Seuils de prix minimaux du marché immobilier de luxe: Maison de luxe au Canada (2 000 000 $) ; Copropriété de luxe au Canada (1 000 000 $) ; Maison de luxe dans la région du Grand Toronto/Ville de Toronto (2 500 000 $) ; Copropriété de luxe dans la région du Grand Toronto/Ville de Toronto (1 500 000 $) ; Maison de luxe dans la région du Grand Montréal/Ville de Montréal (1 500 000 $) ; Copropriété de luxe dans la région du Grand Montréal/Ville de Montréal (1 000 000) ; Maison de luxe dans le Grand Vancouver/Ville de Vancouver (3 500 000 $) ; Copropriété de luxe dans le Grand Vancouver/Ville de Vancouver (1 500 000 $) ; Maison de luxe à Ottawa (1 500 000 $).

Au sujet du communiqué sur les propriétés luxueuses de Royal LePage

Le communiqué de Royal LePage sur les propriétés luxueuses fournit de l’information sur les deux types de propriétés luxueuses les plus courants dans les quatre plus grands marchés immobiliers du Canada. Les données proviennent de la société soeur de Royal LePage, RPS Solutions pour propriétés résidentielles, la source de confiance en matière d’intelligence et d’analyse du marché immobilier au Canada. Les avis sur les marchés immobiliers étudiés sont fournis par des experts de l’immobilier de prestige résidentiel de Royal LePage, en fonction de leurs opinions et connaissances du marché.

À propos de Royal LePage

Au service des Canadiens depuis 1913, Royal LePage est le premier fournisseur au pays de services aux agences immobilières, grâce à son réseau de plus de 18 000 professionnels de l’immobilier répartis dans plus de 600 bureaux partout au Canada. Royal LePage est la seule entreprise immobilière au Canada à posséder son propre organisme de bienfaisance, la Fondation Un toit pour tous de Royal LePage, qui vient en aide aux centres d’hébergement pour femmes et enfants et appuie les programmes éducatifs visant à mettre fin à la violence familiale. Royal LePage est une société affiliée de Bridgemarq Real Estate Services Inc., entreprise inscrite à la Bourse de Toronto sous le symbole « TSX : BRE ». Pour obtenir de plus amples renseignements, consultez : www.royallepage.ca.

Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec :

Roseline Joyal-Guillot

Directrice associée, Communications et Marketing, région du Québec

514-316-5140

roseline@royallepage.ca

 


 

[1] Les périodes examinées sont du 15 mars au 9 septembre 2020 et du 15 mars au 9 septembre 2019.

[2] Seuils de prix minimaux : Maison de luxe dans la région du Grand Toronto/Ville de Toronto (2 500 000 $) ; Copropriété de luxe dans la région du Grand Toronto/Ville de Toronto (1 500 000 $) ; Maison de luxe dans la région du Grand Montréal/Ville de Montréal (1 500 000 $) ; Copropriété de luxe dans la région du Grand Montréal/Ville de Montréal (1 000 000); Maison de luxe dans le Grand Vancouver/Ville de Vancouver (3 500 000 $) ; Copropriété de luxe dans le Grand Vancouver/Ville de Vancouver (1 500 000 $) ; Maison de luxe à Ottawa (1 500 000 $).

[3] Les périodes examinées sont du 15 mars 2020 au 9 septembre 2020 et du 15 mars 2019 au 9 septembre 2019.

[4] Les périodes examinées sont du 15 mars au 9 septembre 2020 et du 15 mars au 9 septembre 2019.

[5] Les périodes examinées sont du 15 mars au 9 septembre 2020 et du 15 mars au 9 septembre 2019.

[6]  Les périodes examinées sont du 15 mars au 9 septembre 2020 et du 15 mars au 9 septembre 2019.