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La demande qui persiste et le faible inventaire poussent les prévisions de prix à la hausse à 15,0 % en 2022

Malgré la montée des prix, des augmentations additionnelles attendues des taux d’intérêt et l’incertitude économique, les conditions demeurent favorables aux vendeurs à mesure que nous avançons dans le marché printanier 

Faits saillants pour le premier trimestre :

  • Le prix de l’agrégat des propriétés à l’échelle nationale a augmenté de 25,1 % d’une année sur l’autre au premier trimestre de 2022, soit, la plus importante hausse pour un premier trimestre depuis que l’entreprise collecte les prix de l’agrégat
  • Kingston, en Ontario, a affiché les plus fortes hausses du prix de l’agrégat et des maisons détachées au Canada comparativement à la même période l’année précédente
  • Le rapport de Royal LePage révèle que le prix médian d’une maison détachée unifamiliale a dépassé 1 million de dollars dans quatre marchés de la région du Golden Horseshoe pour la première fois
  • Des signes précoces d’un ralentissement sont apparus tandis que certains marchés urbains affichent des conditions améliorées pour les acheteurs
  • Les nouvelles politiques fédérales et provinciales visant à aborder la disponibilité et l’abordabilité des logements ne devraient pas alléger le fardeau des acheteurs en 2022

TORONTO, le 19 avril 2022 – D’après l’Étude sur le prix des maisons de Royal LePage publiée aujourd’hui, le prix de l’agrégat[1] des propriétés au Canada a observé une hausse de 25,1 % par rapport à la même période l’année précédente pour atteindre 856 900 $ au premier trimestre de 2022, constituant un record d’appréciation pour un premier trimestre depuis que l’entreprise collecte les prix de l’agrégat. Tandis que la forte demande des acheteurs continue de dépasser l’offre dans presque tous les marchés d’un océan à l’autre, Royal LePage prévoit que le marché printanier sera dicté par des conditions favorables aux vendeurs ce printemps.

« En débutant l’année 2022, nous avions anticipé une première moitié d’année robuste, suivie d’un ralentissement. Qu’il s’agisse de fatigue des acheteurs ou d’assouplissement de la demande, ces périodes inconfortables de forte appréciation des prix des maisons suivent leur cours. Nous observons les premiers signes de ralentissement dans certaines régions, tandis que l’inventaire augmente peu à peu et que la concurrence s’allège légèrement », a déclaré Phil Soper, président et chef de la direction de Royal LePage. « Le premier trimestre de l’année s’est montré si robuste, cela dit, que nous avons dû rehausser notre prévision pour 2022. Qui plus est, les prix des maisons continueront de croître dans les mois à venir, en conséquence du déséquilibre incessant entre l’offre insuffisante et la forte demande ».

Soper a ajouté que bien que la décision de la Banque du Canada de relever son taux directeur de 0,5 % aura une incidence sur la demande, celle-ci sera relativement faible comparativement à la conséquence de vivre avec des prix drastiquement plus élevés sur le marché immobilier résidentiel. La banque centrale a indiqué qu’elle entend continuer d’augmenter son taux directeur jusqu’à la fin de 2023.

« Il est important de souligner que la majorité des Canadiens qui détiennent un ratio prêt-valeur plus élevé ont réussi avec succès la simulation de crise hypothécaire du Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF), en démontrant qu’ils sont en mesure de résister à des hausses de taux beaucoup plus importantes qu’anticipées », a poursuivi M. Soper.

La Synthèse nationale des prix des maisons de Royal LePage est compilée à partir de données exclusives sur les propriétés, sur le plan national et dans 62 des plus grands marchés immobiliers du pays. En examinant le marché par type de propriété, on constate à l’échelle nationale que le prix médian d’une maison unifamiliale détachée a augmenté de 26,7 % d’une année sur l’autre pour grimper à 906 100 $, tandis que le prix médian d’une copropriété a connu une hausse de 19,7 % par rapport à la même période l’an dernier, pour se chiffrer à 612 900 $. Les données relatives aux prix, qui comprennent à la fois celles des propriétés du marché de la revente et celles des nouvelles constructions, sont fournies par la société sœur de Royal LePage, RPS Solutions pour propriétés résidentielles, une société d’évaluation immobilière canadienne de premier plan.

Bien que certaines propriétés ont attiré moins d’offres, les inscriptions dans les quartiers prisés qui sont bien inscrites génèrent encore des offres multiples et sont vendues au-dessus du prix demandé.

« Il y a une différence notoire entre le sentiment et le comportement des acheteurs aujourd’hui », a dit M. Soper. « La confiance des consommateurs est mise à rude épreuve tandis que l’impact persistant de la pandémie et une situation géopolitique inquiétante en Europe de l’Est soulèvent des questions sur la solidité de l’inflation et la trajectoire des taux d’intérêt. Pourtant, bien qu’il y ait moins d’offres sur des propriétés inscrites à leur juste valeur, l’inventaire est si serré que les scénarios d’offres multiples continuent d’être la norme dans une majorité de collectivités. »

Lors du premier trimestre de 2022, le prix médian d’une maison détachée unifamiliale a franchi le cap du million de dollars pour la première fois dans quatre villes de la région du Golden Horseshoe en Ontario : Barrie, Cambridge, Kitchener-Waterloo et Oshawa. L’attrait pour ces régions est largement stimulé par la quête des Torontois à trouver des propriétés abordables et à distance de route raisonnable tandis qu’ils travaillent partiellement ou totalement de la maison.

Royal LePage prévoit que le prix de l’agrégat des propriétés au Canada connaîtra une hausse de 15,0 % au quatrième trimestre de 2022 comparativement à la même période en 2021. Les prévisions antérieures publiées en décembre dernier ont été révisées à la hausse pour tenir compte du dynamisme continu du marché tout au long du premier trimestre de l’année.

Projet pilote de l’ACI: offres transparentes

Le 6 avril dernier, l’Association canadienne de l’immeuble (ACI) a annoncé le lancement d’un projet pilote visant à afficher en temps réel les offres présentées pour les inscriptions sur REALTOR.ca.

« Royal LePage appuie les efforts visant à améliorer la transparence au sein de l’industrie immobilière et applaudit l’ACI dans ses initiatives, lesquelles ont pour objectif de fournir des données utiles additionnelles aux consommateurs engagés dans le processus d’achat de propriété », a déclaré M. Soper. « Toutefois, les politiciens qui espèrent qu’un simple changement dans le processus d’achat de propriétés fera en sorte que le marché immobilier devienne plus abordable seront extrêmement déçus. Les juridictions où les offres transparentes ou les ventes aux enchères sont beaucoup plus courantes ont observé la même flambée des prix des maisons durant la pandémie. Les défis d’abordabilité se verront atténués lorsque la crise de pénurie d’inventaire s’adoucira, mais pas avant. »

Politiques en matière de logement – paliers provincial et fédéral

Le 7 avril, le gouvernement fédéral a annoncé un investissement de plus de 10 milliards de dollars dans le cadre de son budget 2022, pour appuyer le logement abordable et des politiques axées sur la demande. Le gouvernement fédéral a reconnu que 3,5 millions de nouvelles maisons étaient nécessaires d’ici 2031 pour satisfaire à la demande.

« L’accès à un logement convenable représente un des grands enjeux sociaux de notre époque. Je me réjouis que le budget fédéral en tienne compte. Or, le budget requiert la participation essentielle des paliers provinciaux et municipaux afin de satisfaire sa cible et fournir suffisamment de logements pour la demande actuelle, sans parler des besoins futurs découlant de la formation de nouveaux ménages et de l’immigration, relève M. Soper. En octroyant des fonds aux municipalités visant à accélérer l’aménagement et la construction de nouveaux logements, le gouvernement contribue énormément à faire avancer les choses et emprunte donc la bonne voie. »

En ce qui concerne l’interdiction de l’investissement étranger dans le logement canadien, Royal LePage estime que cette mesure n’allégera pas de manière considérable le fardeau des éventuels propriétaires, étant donné que ceux-ci ne représentent qu’un petit pourcentage de l’ensemble des propriétaires au Canada.

Ontario

Le mois dernier, le gouvernement de l’Ontario a déposé un nouveau projet de loi sur le logement qui prévoit plusieurs initiatives visant à accélérer le processus d’approbation des municipalités en matière d’aménagement et de permettre la construction d’autres immeubles résidentiels de quatre à six étages. En outre, le gouvernement a fait passer sa taxe sur la spéculation pour les non-résidents de 15 % à 20 % en plus d’étendre son application à l’extérieur de la région élargie du Golden Horseshoe et du Sud de l’Ontario, c’est-à-dire à l’ensemble de la province.

« Bien que les acheteurs devront patienter des années pour profiter des améliorations des conditions du marché immobilier, je salue le gouvernement de l’Ontario pour ses efforts visant à accroître l’offre au moyen d’une densification nécessaire. Ces mesures susciteront l’espoir des jeunes acheteurs de Toronto d’acquérir une propriété dans les années à venir. Or, les éventuels propriétaires ne devraient pas s’attendre à ce que la hausse de la taxe imposée aux  non-résidents soulage le marché, étant donné que les acheteurs étrangers ne représentent qu’un faible pourcentage de l’ensemble du marché », a dit Karen Yolevski, chef des opérations, Services immobiliers Royal LePage Ltée.

Colombie-Britannique

La ministre des Finances de la Colombie-Britannique, Selina Robinson, a récemment annoncé la mise en place d’une nouvelle période de protection pour les acheteurs de maison au titre de la loi, qui, lorsqu’elle entrera en vigueur, accordera un délais de cinq jours aux acheteurs pour reconsidérer leur offre, veiller au financement et faire inspecter la propriété.

« La nouvelle loi plonge les professionnels de l’industrie et les consommateurs dans l’incertitude. Puisque nous disposons de peu de renseignements et d’aucune orientation précise quant à l’application de cette politique et de l’organisme qui y veillera, nous pouvons difficilement prévoir les incidences de celle-ci sur le marché », a dit Randy Ryalls, directeur général, Royal LePage Sterling Realty. « Nous sommes d’avis que si la province avait collaboré avec les chefs de file de l’industrie, elle aurait pu élaborer une politique qui aurait mieux servi les intérêts de la population canadienne au moment où certains de ses membres prennent une des décisions les plus importantes de leur vie. »

M. Ryalls a ajouté que la période de réflexion de cinq jours n’entraînera que d’autres retards de l’inventaire et que la proposition de l’Association immobilière de la Colombie-Britannique visant à imposer une période de réflexion obligatoire préalable à l’offre ou une inspection obligatoire de la propriété profiterait davantage aux acheteurs.

Nouvelle-Écosse

Dans son budget, la province a annoncé de nouvelles mesures fiscales qui prévoient l’imposition d’une taxe sur le transfert de titre de propriété de 5 % de la valeur de celle-ci aux non-résidents qui ne sont pas déménagés dans les six mois suivant l’acte de vente notarié. Les mesures fiscales comprennent également un impôt foncier de 2 $ par tranche de 100 $ de la valeur imposable des propriétés résidentielles appartenant à des non-résidents. Cette mesure ne s’appliquera ni aux immeubles comptant plus de trois logements ni aux propriétés louées à long terme à des Néo-Écossais.

« En dépit des dollars investis dans l’espoir d’attirer des touristes et des entreprises dans la province au fil des années et du fait que les Néo-Écossais ont besoin d’une solution pour remédier au manque de logements, le geste posé à l’égard de la population canadienne s’avère décevant », a dit Matt Honsberger, courtier et propriétaire de l’agence Royal LePage Atlantic. « Bon nombre des gens touchés sont des propriétaires de chalets provenant de l’Ontario qui profitent de la Nouvelle-Écosse et y dépensent de l’argent depuis des années. »

Tableau des prix – 1er trimestre 2022: rlp.ca/T1-2022-prix-des-maisons
Tableau des prévisions 2022:
rlp.ca/T1-2022-previsions

SURVOL PAR RÉGION

Région du Grand Montréal 

Le prix de l’agrégat d’une propriété dans la région a augmenté de 18,5 % d’une année sur l’autre, pour atteindre 571 400 $ au premier trimestre de 2022. Durant la même période, le prix médian d’une maison unifamiliale détachée a quant à lui grimpé de 19,8 % d’une année sur l’autre pour atteindre 636 200 $, tandis que celui d’un appartement en copropriété a affiché une hausse de 17,7 % d’une année sur l’autre pour atteindre 446 700 $ au premier trimestre.

À la lumière des résultats du premier trimestre 2022 qui affichent une croissance plus robuste qu’anticipée des prix des maisons, Royal LePage a rehaussé ses prévisions. L’entreprise prévoit que le prix des propriétés dans la région du Grand Montréal atteindra 599 200 $ au quatrième trimestre de 2022, soit une hausse de 12,5 % comparativement à la fin de 2021. Il s’agit d’une majoration de quatre points de pourcentage de plus que les prévisions annoncées en décembre dernier.

« Le télétravail a transformé le marché immobilier ces deux dernières années », affirme M. St-Pierre. « Autrefois l’épicentre du marché immobilier québécois, le centre de Montréal connaît depuis six trimestres consécutifs des augmentations du prix médian plus faibles que dans la périphérie. Cet étalement urbain a particulièrement favorisé les banlieues et les marchés récréatifs de la province, les acheteurs étant prêts à trouver une propriété beaucoup plus loin qu’avant pour accéder à la qualité de vie qu’ils recherchent. Nous pouvons présumer qu’à mesure que l’immigration retrouvera un rythme plus soutenu, la demande immobilière pour les quartiers du centre de Montréal reprendra. »

Dans Montréal Centre, le prix de l’agrégat d’une propriété a augmenté de 11,7 % d’une année sur l’autre, pour atteindre 692 500 $ au premier trimestre de 2022. Pendant la même période, le prix médian d’une maison unifamiliale détachée a augmenté de 14,3 % d’une année sur l’autre, pour atteindre 1 062 800 $ au premier trimestre de 2022, tandis que le prix médian d’un appartement en copropriété a augmenté de 10,7 % pour atteindre 530 900 $.

« Le télétravail a transformé le marché immobilier ces deux dernières années », affirme M. St-Pierre. « Autrefois l’épicentre du marché immobilier québécois, le centre de Montréal connaît depuis trois trimestres consécutifs des augmentations du prix médian plus faibles qu’ailleurs dans la région et dans la province. Cet étalement urbain a particulièrement favorisé les banlieues et les marchés récréatifs de la province, les acheteurs étant prêts à trouver une propriété beaucoup plus loin qu’avant pour accéder à la qualité de vie qu’ils recherchent. Nous pouvons présumer qu’à mesure que l’immigration retrouvera un rythme plus soutenu, la demande immobilière pour les quartiers du centre de Montréal reprendra. »

Royal LePage prévoit que le prix de l’agrégat des propriétés de la région du Grand Montréal connaîtra une hausse de 12,5 % au quatrième trimestre de 2022 comparativement à la même période l’an dernier. Les prévisions antérieures publiées en décembre dernier ont été révisées à la hausse pour tenir compte du dynamisme continu du marché tout au long du premier trimestre de l’année.

Tableau des prix – 1er trimestre 2022: rlp.ca/T1-2022-prix-des-maisons
Tableau des prévisions 2022:
rlp.ca/T1-2022-previsions

Région du Grand Toronto

Le prix de l’agrégat des propriétés de la région du Grand Toronto a enregistré une hausse de 27,7 % par rapport à l’année précédente pour s’établir à 1 269 900 $ au premier trimestre de 2022, correspondant à une augmentation record depuis que l’entreprise collecte les prix de l’agrégat. En examinant le marché par type de propriété, on constate que le prix médian d’une maison unifamiliale détachée a augmenté de 29,7 % d’une année sur l’autre pour grimper à 1 588 900 $, tandis que le prix médian d’une copropriété a connu une hausse de 21,7 % par rapport à la même période l’an dernier, pour se chiffrer à 764 200 $.

« La demande de logements à Toronto et dans la région environnante reste forte. Malgré une légère augmentation des inscriptions au cours des dernières semaines, une concurrence féroce subsiste encore entre les acheteurs souhaitant faire leur entrée sur le marché en amont d’autres hausses des taux d’intérêt », observe Karen Yolevski, chef de l’exploitation pour les Services immobiliers Royal LePage ltée. « Le marché des appartements en copropriété s’avère particulièrement concurrentiel en raison du retour en ville d’anciens résidents dont les activités ont repris au bureau et d’acheteurs d’une première propriété en quête d’un bien immobilier abordable. »

Mme Yolevski a remarqué une diminution du nombre d’offres que reçoivent les inscriptions dans certains secteurs, en dépit du creux historique de l’inventaire des propriétés, intensifiant ainsi la concurrence parmi les acheteurs.

Le prix de l’agrégat dans la ville de Toronto a augmenté de 20,9 % par rapport à la même période l’année précédente pour s’établir à 1 309 800 $ au premier trimestre de 2022. Au cours de la même période, le prix médian d’une maison unifamiliale détachée a grimpé de 22,8 % par rapport à l’année précédente pour atteindre 1 823 900 $, tandis que celui d’une copropriété augmentait de 17,9 % pour se fixer à 786 700 $.

Le mois dernier, le gouvernement de l’Ontario a déposé un nouveau projet de loi sur le logement qui prévoit plusieurs initiatives visant à accélérer le processus d’approbation des municipalités en matière d’aménagement et de permettre la construction d’autres immeubles résidentiels de quatre à six étages. En outre, le gouvernement a fait passer sa taxe sur la spéculation pour les non-résidents de 15 % à 20 % en plus d’étendre son application à l’extérieur de la région élargie du Golden Horseshoe et du Sud de l’Ontario, c’est-à-dire à l’ensemble de la province.

« Bien que les nouvelles politiques visant à améliorer les conditions du marché immobilier pour les acheteurs prendront des années avant de donner des résultats, je salue le gouvernement de l’Ontario pour ses efforts visant à accroître l’offre au moyen d’une densification nécessaire. Ces mesures susciteront l’espoir des jeunes acheteurs de Toronto d’acquérir une propriété dans les années à venir. Or, les éventuels propriétaires ne devraient pas s’attendre à ce que la hausse de la taxe imposée aux non-résidents soulage le marché, étant donné que les acheteurs étrangers ne représentent qu’un faible pourcentage de l’ensemble du marché », précise Mme Yolevski.

Royal LePage prévoit que le prix de l’agrégat des propriétés de la région du Grand Toronto connaîtra une hausse de 16,5 % au quatrième trimestre de 2022 comparativement à la même période l’an dernier. Les prévisions antérieures publiées en décembre dernier ont été révisées à la hausse pour tenir compte du dynamisme continu du marché tout au long du premier trimestre de l’année.

Tableau des prix – 1er trimestre 2022: rlp.ca/T1-2022-prix-des-maisons
Tableau des prévisions 2022:
rlp.ca/T1-2022-previsions

Région du Grand Vancouver

Le prix de l’agrégat des propriétés du Grand Vancouver a enregistré une hausse de 18,2 % par rapport à l’année précédente pour s’établir à 1 368 600 $ au premier trimestre de 2022. En examinant le marché par type de propriété, on constate que le prix médian d’une maison unifamiliale détachée a augmenté de 20,7 % d’une année sur l’autre pour grimper à 1 870 100 $, tandis que le prix médian d’une copropriété a connu une hausse de 20,4 % par rapport à la même période l’an dernier, pour se chiffrer à 828 400 $.

« Bien que le nombre d’inscriptions commence à augmenter, cette croissance se produit très lentement », a dit Randy Ryalls, directeur général de Royal LePage Sterling Realty. « Le marché du  Grand Vancouver demeure un marché favorable aux vendeurs et les inscriptions sont absorbées très rapidement. Les conditions du marché donnent lieu à un cercle perpétuel. La pénurie d’inventaire suscitant la réticence des vendeurs, ceux-ci retardent la mise en vente de leur propriété jusqu’à ce qu’ils soient en mesure de s’en procurer une autre. »

Le prix de l’agrégat dans la ville de Vancouver a augmenté de 14,6 % par rapport à la même période l’année précédente pour s’établir à 1 478 100 $ au premier trimestre de 2022. Au cours de la même période, le prix médian d’une maison unifamiliale détachée a grimpé de 21,7 % par rapport à l’année précédente pour atteindre 2 665 400 $, tandis que celui d’une copropriété augmentait de 7,1 % pour se fixer à 835 600 $.

M. Ryalls a récemment observé une modification importante du comportement des acheteurs. En effet, l’augmentation soutenue des prix, la hausse des taux d’intérêt et la mise en place d’une période de réflexion par le gouvernement de la Colombie-Britannique offrent en quelque sorte un répit aux acheteurs potentiels.

« La nouvelle loi plonge les professionnels de l’industrie et les consommateurs dans l’incertitude. Puisque nous disposons de peu de renseignements et d’aucune orientation précise quant à l’application de cette politique et de l’organisme qui y veillera, nous pouvons difficilement prévoir les incidences de celle-ci sur le marché », souligne-t-il. « Nous sommes d’avis que si la province avait collaboré avec les chefs de file de l’industrie, elle aurait pu élaborer une politique qui aurait mieux servi les intérêts de la population canadienne au moment où certains de ses membres prennent une des décisions les plus importantes de leur vie. »

M. Ryalls a ajouté que la période de réflexion n’entraînera que d’autres retards de l’inventaire et que la proposition de l’Association immobilière de la Colombie-Britannique visant à imposer une période de réflexion obligatoire préalable à l’offre ou une inspection obligatoire de la propriété profiterait davantage aux acheteurs.

Royal LePage prévoit que le prix de l’agrégat des propriétés du Grand Vancouver connaîtra une hausse de 15,0 % au quatrième trimestre de 2022 comparativement à la même période l’an dernier. Les prévisions antérieures publiées en décembre dernier ont été révisées à la hausse pour tenir compte du dynamisme continu du marché tout au long du premier trimestre de l’année.

Tableau des prix – 1er trimestre 2022: rlp.ca/T1-2022-prix-des-maisons
Tableau des prévisions 2022:
rlp.ca/T1-2022-previsions

Ottawa

Le prix de l’agrégat dans la région d’Ottawa a augmenté de 19,9 % par rapport à la même période l’année précédente pour se chiffrer à 809 200 $ au premier trimestre de 2022,correspondant à une augmentation record depuis que l’entreprise collecte les prix de l’agrégat. En examinant le marché par type de propriété, on constate que le prix médian d’une maison unifamiliale détachée a augmenté de 20,0 % d’une année sur l’autre pour grimper à 947 600 $, tandis que le prix médian d’une copropriété a connu une hausse de 9,8 % par rapport à la même période l’an dernier, pour se chiffrer à 432 500 $.

« Le marché immobilier d’Ottawa est demeuré solide pendant le premier trimestre de l’année et je crois que cette tendance se poursuivra au printemps. La pénurie d’inscriptions et une demande croissante dans la région continuent de favoriser la hausse des prix, donnant lieu à une dynamique extrêmement concurrentielle d’acheteurs », constate Rick Eisert, dirigeant de l’agence Royal LePage Team Realty.

Il a précisé qu’en raison du marché du travail vigoureux et de la vitalité de la culture qui y règnent, Ottawa devient de plus en plus populaire, ce qui explique la demande dans cette ville. Or, cette forte demande et la hausse croissante du prix des résidences dans la région attribuable à la pénurie d’inventaire donnent du fil à retordre aux acheteurs d’une première propriété.

« Les premiers acheteurs ont du mal à se tailler une place sur le marché compte tenu de la concurrence intense. Ils décident d’emménager dans une copropriété ou acquièrent une résidence dans les secteurs plus abordables à l’extérieur de la ville, comme Almonte ou Carleton Place. Cependant, le prix des propriétés monte également en flèche dans ces secteurs », souligne M. Eisert.

Ce dirigeant d’agence prévoit un marché robuste ce printemps au fur et à mesure que des inscriptions s’ajouteront vu la construction de projets résidentiels en cours, qui pourraient contribuer à alléger la demande refoulée dans la région.

Royal LePage prévoit que le prix de l’agrégat des propriétés d’Ottawa connaîtra une hausse de 13,0 % au quatrième trimestre de 2022 comparativement à la même période l’an dernier. Les prévisions antérieures publiées en décembre dernier ont été révisées à la hausse pour tenir compte du dynamisme continu du marché tout au long du premier trimestre de l’année.

Tableau des prix – 1er trimestre 2022: rlp.ca/T1-2022-prix-des-maisons
Tableau des prévisions 2022:
rlp.ca/T1-2022-previsions

Calgary

Le prix de l’agrégat dans la région de Calgary a augmenté de 13,3 % par rapport à la même période l’année précédente pour se chiffrer à 612 000 $ au premier trimestre de 2022. En examinant le marché par type de propriété, on constate que le prix médian d’une maison unifamiliale détachée a augmenté de 18,5 % d’une année sur l’autre pour grimper à 699 000 $, tandis que le prix médian d’une copropriété a connu une hausse de 5,8 % par rapport à la même période l’an dernier, pour se chiffrer à 232 800 $.

« Le marché printanier a débuté tôt cette année et bât son plein », note Corinne Lyall, courtier immobilier et propriétaire de l’agence Royal LePage Benchmark. « Bien que depuis l’été 2020, les scénarios d’offres multiples et la vente de propriétés au-dessus du prix demandé soient devenues des pratiques courantes, le marché du logement de Calgary a continué d’enregistrer d’appréciables hausses constantes après la période de récession préalable à la pandémie. En ce printemps, l’accessibilité demeure un facteur important pour la population locale et les acheteurs à l’échelle du Canada. »

Mme Lyall a observé qu’une grande partie de la demande, surtout pour les maisons unifamiliales, émane d’acheteurs ontariens, qui comprend de jeunes familles souhaitant élire domicile à Calgary.

« Le segment des appartements en copropriété a connu une explosion de la demande depuis le début de l’année, alors que l’inventaire de maisons unifamiliales se fait rare et que les prix poursuivent leur montée en flèche, abonde-t-elle. Les copropriétés constituent une option intéressante pour les gens en quête d’une résidence abordable et je m’attends à ce que les ventes continuent d’augmenter au cours des prochains mois dans ce segment du marché. »

Royal LePage prévoit que le prix de l’agrégat des propriétés de Calgary connaîtra une hausse de 8,0 % au quatrième trimestre de 2022 comparativement à la même période l’an dernier. Les prévisions antérieures publiées en décembre dernier ont été révisées à la hausse pour tenir compte du dynamisme continu du marché tout au long du premier trimestre de l’année.

Tableau des prix – 1er trimestre 2022: rlp.ca/T1-2022-prix-des-maisons
Tableau des prévisions 2022:
rlp.ca/T1-2022-previsions

Edmonton

Le prix de l’agrégat dans la région d’Edmonton a augmenté de 6,2 % par rapport à la même période l’année précédente pour se chiffrer à 452 000 $ au premier trimestre de 2022. En examinant le marché par type de propriété, on constate que le prix médian d’une maison unifamiliale détachée a augmenté de 6,4 % d’une année sur l’autre pour grimper à 494 800 $, tandis que le prix médian d’une copropriété a connu une hausse modeste de 3,5 % par rapport à la même période l’an dernier, pour se chiffrer à 201 900 $.

D’après Tom Shearer, courtier et propriétaire de l’agence Royal LePage Noralta Real Estate, « le marché du logement d’Edmonton est resté solide au cours du premier trimestre de l’année, tandis que la demande a continué de dépasser l’inventaire de la région. Le marché du travail en plein essor et l’accessibilité relative des propriétés de la ville comparativement à celles dans les grandes agglomérations urbaines stimulent la demande des jeunes familles souhaitant s’établir dans la région. »

Il a aussi mentionné qu’Edmonton fait l’objet d’une demande auprès des investisseurs qui ont vu leurs capitaux propres augmenter dans d’autres régions du pays et qui ciblent maintenant l’Ouest canadien, accentuant ainsi la pression sur le marché du logement de la ville.

« Considérant la hausse de la demande d’acheteurs provenant de l’extérieur de la province, jumelée à la pénurie d’inventaire actuelle, je crois que le marché sera animé ce printemps et que le prix des propriétés continuera de croître dans la région », a poursuivi M. Shearer.

Il a souligné qu’il ne s’attend pas à ce que la remontée des taux hypothécaires influence grandement le marché du logement à Edmonton, étant donné que les consommateurs ont encore accès à des options de financement et des prix abordables dans la province.

Royal LePage prévoit que le prix de l’agrégat des propriétés d’Edmonton connaîtra une hausse de 9,0 % au quatrième trimestre de 2022 comparativement à la même période l’an dernier. Les prévisions antérieures publiées en décembre dernier ont été révisées à la hausse pour tenir compte du dynamisme continu du marché tout au long du premier trimestre de l’année.

Tableau des prix – 1er trimestre 2022: rlp.ca/T1-2022-prix-des-maisons
Tableau des prévisions 2022:
rlp.ca/T1-2022-previsions

Halifax

Le prix de l’agrégat dans la région de Halifax a augmenté de 14,5 % par rapport à la même période l’année précédente pour se chiffrer à 509 500 $ au premier trimestre de 2022. En examinant le marché par type de propriété, on observe que le prix médian d’une maison détachée unifamiliale a augmenté de 16,7 % d’une année sur l’autre pour grimper à 569 100 $, tandis que le prix médian d’une copropriété a connu une hausse de 21,2 % par rapport à la même période l’an dernier, pour se chiffrer à 411 000 $.

« Nous constatons l’augmentation printanière habituelle des inscriptions. Toutefois, les propriétés se vendent après avoir été affichées brièvement sur le marché. Les acheteurs qui souhaitent acquérir une propriété ce printemps doivent savoir précisément ce qu’ils recherchent en vue de parvenir rapidement à leurs fins », souligne Matt Honsberger, courtier et propriétaire de l’agence Royal LePage Atlantic. « Malgré la pénurie d’inventaire, la hausse des prix se poursuivra l’année prochaine. »

Dans son budget, la province a annoncé de nouvelles mesures fiscales qui prévoient l’imposition d’une taxe sur le transfert de titre de propriété de 5 % de la valeur de celle-ci aux non-résidents qui ne sont pas déménagés dans les six mois suivant l’acte de vente notarié. Les mesures fiscales comprennent également un impôt foncier de 2 $ par tranche de 100 $ de la valeur imposable des propriétés résidentielles appartenant à des non-résidents. Cette mesure ne s’appliquera ni aux immeubles comptant plus de trois logements ni aux propriétés louées à long terme à des Néo-Écossais.

« En dépit des dollars investis dans l’espoir d’attirer des touristes et des entreprises dans la province au fil des années et du fait que les Néo-Écossais ont besoin d’une solution pour remédier au manque de logements, le geste posé à l’égard de la population canadienne s’avère décevant, ajoute M. Honsberger. Bon nombre des gens touchés sont des propriétaires de chalets provenant de l’Ontario qui profitent de la Nouvelle-Écosse et y dépensent de l’argent depuis des années. »

Il a précisé qu’en plus de la pénurie d’inventaire occasionnée par la migration interprovinciale, les acheteurs locaux sont aussi aux prises avec ce problème.

« La pénurie d’inventaire nuit à la prospérité d’Halifax. La région n’était pas prête à affronter la demande accrue d’acheteurs, mais il n’est jamais trop tard pour agir et construire davantage de propriétés », renchérit-il.

Royal LePage prévoit que le prix de l’agrégat des propriétés de Halifax connaîtra une hausse de 12,5 % au quatrième trimestre de 2022 comparativement à la même période l’an dernier. Les prévisions antérieures publiées en décembre dernier ont été révisées à la hausse pour tenir compte du dynamisme continu du marché tout au long du premier trimestre de l’année.

Tableau des prix – 1er trimestre 2022: rlp.ca/T1-2022-prix-des-maisons
Tableau des prévisions 2022:
rlp.ca/T1-2022-previsions

Winnipeg

Le prix de l’agrégat dans la région de Winnipeg a augmenté de 16,3 % par rapport à la même période l’année précédente pour se chiffrer à 387 900 $ au premier trimestre de 2022, correspondant à une augmentation record depuis que l’entreprise collecte les prix de l’agrégat. En examinant le marché par type de propriété, on constate que le prix médian d’une maison unifamiliale détachée a augmenté de 11,4 % d’une année sur l’autre pour grimper à 425 600 $, tandis que le prix médian d’une copropriété a connu une hausse de 8,4 % par rapport à la même période l’an dernier, pour se chiffrer à 243 900 $.

« C’est la première fois que je vois la valeur médiane d’une maison unifamiliale dépasser 400 000 $ à Winnipeg », révèle Michael Froese, courtier immobilier et directeur de l’agence Royal LePage Prime Real Estate. « La concurrence est très féroce parmi les acheteurs. La ville connaît toujours une pénurie d’inscriptions, ce qui entraîne la hausse des prix et les acheteurs se sentent pressés d’acheter une propriété avant une autre remontée des taux d’intérêt. Le mois de mars a établi un nouveau record avec 67 % des maisons s’étant vendues au-dessus du prix demandé, représentant une hausse de 14 % depuis mars 2021. »

M. Froese a remarqué que la demande pour les copropriétés a continué d’être forte, tandis que les acheteurs d’une première propriété souhaitent faire leur entrée sur le marché immobilier de n’importe quelle manière à leur portée.

« Pour bien des gens, les appartements en copropriété constituent le juste équilibre entre abordabilité et localisation idéale », a-t-il enchaîné. « Cette option est plus accessible qu’une maison détachée ou jumelée, et, la plupart du temps, ces appartements sont situés près du centre-ville, ce qui plaît aux jeunes professionnels et aux gens qui doivent se rendre fréquemment au bureau. Je pense que ce segment connaîtra encore une forte demande ce printemps et cet été. »

Royal LePage prévoit que le prix de l’agrégat des propriétés de Winnipeg connaîtra une hausse de 8,0 % au quatrième trimestre de 2022 comparativement à la même période l’an dernier. Les prévisions antérieures publiées en décembre dernier ont été révisées à la hausse pour tenir compte du dynamisme continu du marché tout au long du premier trimestre de l’année.

Tableau des prix – 1er trimestre 2022: rlp.ca/T1-2022-prix-des-maisons
Tableau des prévisions 2022:
rlp.ca/T1-2022-previsions

Regina 

Le prix de l’agrégat dans la région de Regina a augmenté de 11,8 % par rapport à la même période l’année précédente pour se chiffrer à 361 200 $ au premier trimestre de 2022, correspondant à une augmentation record depuis que l’entreprise collecte les prix de l’agrégat. En examinant le marché par type de propriété, on constate que le prix médian d’une maison unifamiliale détachée a augmenté de 13,4 % d’une année sur l’autre pour grimper à 392 500 $, tandis que le prix médian d’une copropriété a connu une hausse de 3,0 % par rapport à la même période l’an dernier, pour se chiffrer à 203 900 $.

« Nous avons constaté une légère hausse des nouvelles inscriptions au cours des dernières semaines, ce qui est prévisible alors que la température se réchauffe. Cela dit, l’inventaire est trop faible pour soutenir la demande croissante », avance Mike Duggleby, dirigeant-propriétaire de l’agence Royal LePage Regina Realty. « Le manque d’inscriptions se fait sentir dans tous les segments du marché, plaçant ainsi les acheteurs d’une première propriété devant une impasse. L’absence de propriétés de qualité supérieure à la portée des vendeurs empêche les nouveaux acheteurs d’acquérir une première propriété modeste. »

M. Duggleby a précisé que les activités ont stagné lors du dernier trimestre, bien qu’il s’attende à ce que le marché s’anime ce printemps avec l’arrivée de nouvelles inscriptions.

Royal LePage prévoit que le prix de l’agrégat des propriétés de Regina connaîtra une hausse de 7,0 % au quatrième trimestre de 2022 comparativement à la même période l’an dernier. Les prévisions antérieures publiées en décembre dernier ont été révisées à la hausse pour tenir compte du dynamisme continu du marché tout au long du premier trimestre de l’année.

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À propos de l’Étude sur le prix des maisons de Royal LePage

L’Étude sur le prix des maisons de Royal LePage présente des renseignements sur les trois types d’habitation les plus courants, à l’échelle nationale et dans les 62 plus grands marchés immobiliers au pays. Les valeurs des maisons présentées dans l’Étude sur le prix des maisons de Royal LePage sont fondées sur la Synthèse du marché immobilier canadien de Royal LePage, un document produit chaque trimestre à l’aide des données de l’entreprise, en plus des données analytiques de sa société sœur, RPS Solutions pour propriétés résidentielles, la source de confiance pour les renseignements et les analyses sur le secteur immobilier résidentiel au Canada. Les commentaires sur l’immobilier et les prévisions quant aux valeurs sont fournis par des spécialistes en immobilier résidentiel de Royal LePage à partir de leurs opinions et de leur connaissance du marché.

À propos de Royal LePage

Au service des Canadiens depuis 1913, Royal LePage est le premier fournisseur au pays de services aux agences immobilières, grâce à son réseau de près de 19 000 professionnels de l’immobilier répartis dans 600 bureaux partout au Canada. Royal LePage est la seule entreprise immobilière au Canada à posséder son propre organisme de bienfaisance, la Fondation Un toit pour tous de Royal LePage, qui vient en aide aux centres d’hébergement pour femmes et enfants ainsi qu’aux programmes éducatifs visant à mettre fin à la violence familiale. Royal LePage est une société affiliée de Bridgemarq Real Estate Services inc., entreprise inscrite à la Bourse de Toronto sous le symbole « TSX:BRE ». Pour en savoir davantage, veuillez consulter www.royallepage.ca.

Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec :

Valérie Dupuis
North Strategic pour le compte de Royal LePage
valerie.dupuis@northstrategic.com
514-622-4843


[1]  L’agrégat des prix est calculé à partir de la moyenne pondérée de la valeur médiane de tous les types de propriétés étudiés. Les données sont fournies par RPS Solutions pour propriétés résidentielles et comprennent des transactions du marché de la revente ainsi que des nouvelles constructions.Malgré la montée des prix, des augmentations additionnelles attendues des taux d’intérêt et l’incertitude économique, les conditions demeurent favorables aux vendeurs à mesure que nous avançons dans le marché printanier 

Faits saillants pour le premier trimestre :

  • Le prix de l’agrégat des propriétés à l’échelle nationale a augmenté de 25,1 % d’une année sur l’autre au premier trimestre de 2022, soit, la plus importante hausse pour un premier trimestre depuis que l’entreprise collecte les prix de l’agrégat
  • Kingston, en Ontario, a affiché les plus fortes hausses du prix de l’agrégat et des maisons détachées au Canada comparativement à la même période l’année précédente
  • Le rapport de Royal LePage révèle que le prix médian d’une maison détachée unifamiliale a dépassé 1 million de dollars dans quatre marchés de la région du Golden Horseshoe pour la première fois
  • Des signes précoces d’un ralentissement sont apparus tandis que certains marchés urbains affichent des conditions améliorées pour les acheteurs
  • Les nouvelles politiques fédérales et provinciales visant à aborder la disponibilité et l’abordabilité des logements ne devraient pas alléger le fardeau des acheteurs en 2022

TORONTO, le 19 avril 2022 – D’après l’Étude sur le prix des maisons de Royal LePage publiée aujourd’hui, le prix de l’agrégat[1] des propriétés au Canada a observé une hausse de 25,1 % par rapport à la même période l’année précédente pour atteindre 856 900 $ au premier trimestre de 2022, constituant un record d’appréciation pour un premier trimestre depuis que l’entreprise collecte les prix de l’agrégat. Tandis que la forte demande des acheteurs continue de dépasser l’offre dans presque tous les marchés d’un océan à l’autre, Royal LePage prévoit que le marché printanier sera dicté par des conditions favorables aux vendeurs ce printemps.

« En débutant l’année 2022, nous avions anticipé une première moitié d’année robuste, suivie d’un ralentissement. Qu’il s’agisse de fatigue des acheteurs ou d’assouplissement de la demande, ces périodes inconfortables de forte appréciation des prix des maisons suivent leur cours. Nous observons les premiers signes de ralentissement dans certaines régions, tandis que l’inventaire augmente peu à peu et que la concurrence s’allège légèrement », a déclaré Phil Soper, président et chef de la direction de Royal LePage. « Le premier trimestre de l’année s’est montré si robuste, cela dit, que nous avons dû rehausser notre prévision pour 2022. Qui plus est, les prix des maisons continueront de croître dans les mois à venir, en conséquence du déséquilibre incessant entre l’offre insuffisante et la forte demande ».

Soper a ajouté que bien que la décision de la Banque du Canada de relever son taux directeur de 0,5 % aura une incidence sur la demande, celle-ci sera relativement faible comparativement à la conséquence de vivre avec des prix drastiquement plus élevés sur le marché immobilier résidentiel. La banque centrale a indiqué qu’elle entend continuer d’augmenter son taux directeur jusqu’à la fin de 2023.

« Il est important de souligner que la majorité des Canadiens qui détiennent un ratio prêt-valeur plus élevé ont réussi avec succès la simulation de crise hypothécaire du Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF), en démontrant qu’ils sont en mesure de résister à des hausses de taux beaucoup plus importantes qu’anticipées », a poursuivi M. Soper.

La Synthèse nationale des prix des maisons de Royal LePage est compilée à partir de données exclusives sur les propriétés, sur le plan national et dans 62 des plus grands marchés immobiliers du pays. En examinant le marché par type de propriété, on constate à l’échelle nationale que le prix médian d’une maison unifamiliale détachée a augmenté de 26,7 % d’une année sur l’autre pour grimper à 906 100 $, tandis que le prix médian d’une copropriété a connu une hausse de 19,7 % par rapport à la même période l’an dernier, pour se chiffrer à 612 900 $. Les données relatives aux prix, qui comprennent à la fois celles des propriétés du marché de la revente et celles des nouvelles constructions, sont fournies par la société sœur de Royal LePage, RPS Solutions pour propriétés résidentielles, une société d’évaluation immobilière canadienne de premier plan.

Bien que certaines propriétés ont attiré moins d’offres, les inscriptions dans les quartiers prisés qui sont bien inscrites génèrent encore des offres multiples et sont vendues au-dessus du prix demandé.

« Il y a une différence notoire entre le sentiment et le comportement des acheteurs aujourd’hui », a dit M. Soper. « La confiance des consommateurs est mise à rude épreuve tandis que l’impact persistant de la pandémie et une situation géopolitique inquiétante en Europe de l’Est soulèvent des questions sur la solidité de l’inflation et la trajectoire des taux d’intérêt. Pourtant, bien qu’il y ait moins d’offres sur des propriétés inscrites à leur juste valeur, l’inventaire est si serré que les scénarios d’offres multiples continuent d’être la norme dans une majorité de collectivités. »

Lors du premier trimestre de 2022, le prix médian d’une maison détachée unifamiliale a franchi le cap du million de dollars pour la première fois dans quatre villes de la région du Golden Horseshoe en Ontario : Barrie, Cambridge, Kitchener-Waterloo et Oshawa. L’attrait pour ces régions est largement stimulé par la quête des Torontois à trouver des propriétés abordables et à distance de route raisonnable tandis qu’ils travaillent partiellement ou totalement de la maison.

Royal LePage prévoit que le prix de l’agrégat des propriétés au Canada connaîtra une hausse de 15,0 % au quatrième trimestre de 2022 comparativement à la même période en 2021. Les prévisions antérieures publiées en décembre dernier ont été révisées à la hausse pour tenir compte du dynamisme continu du marché tout au long du premier trimestre de l’année.

Projet pilote de l’ACI: offres transparentes

Le 6 avril dernier, l’Association canadienne de l’immeuble (ACI) a annoncé le lancement d’un projet pilote visant à afficher en temps réel les offres présentées pour les inscriptions sur REALTOR.ca.

« Royal LePage appuie les efforts visant à améliorer la transparence au sein de l’industrie immobilière et applaudit l’ACI dans ses initiatives, lesquelles ont pour objectif de fournir des données utiles additionnelles aux consommateurs engagés dans le processus d’achat de propriété », a déclaré M. Soper. « Toutefois, les politiciens qui espèrent qu’un simple changement dans le processus d’achat de propriétés fera en sorte que le marché immobilier devienne plus abordable seront extrêmement déçus. Les juridictions où les offres transparentes ou les ventes aux enchères sont beaucoup plus courantes ont observé la même flambée des prix des maisons durant la pandémie. Les défis d’abordabilité se verront atténués lorsque la crise de pénurie d’inventaire s’adoucira, mais pas avant. »

Politiques en matière de logement – paliers provincial et fédéral

Le 7 avril, le gouvernement fédéral a annoncé un investissement de plus de 10 milliards de dollars dans le cadre de son budget 2022, pour appuyer le logement abordable et des politiques axées sur la demande. Le gouvernement fédéral a reconnu que 3,5 millions de nouvelles maisons étaient nécessaires d’ici 2031 pour satisfaire à la demande.

« L’accès à un logement convenable représente un des grands enjeux sociaux de notre époque. Je me réjouis que le budget fédéral en tienne compte. Or, le budget requiert la participation essentielle des paliers provinciaux et municipaux afin de satisfaire sa cible et fournir suffisamment de logements pour la demande actuelle, sans parler des besoins futurs découlant de la formation de nouveaux ménages et de l’immigration, relève M. Soper. En octroyant des fonds aux municipalités visant à accélérer l’aménagement et la construction de nouveaux logements, le gouvernement contribue énormément à faire avancer les choses et emprunte donc la bonne voie. »

En ce qui concerne l’interdiction de l’investissement étranger dans le logement canadien, Royal LePage estime que cette mesure n’allégera pas de manière considérable le fardeau des éventuels propriétaires, étant donné que ceux-ci ne représentent qu’un petit pourcentage de l’ensemble des propriétaires au Canada.

Ontario

Le mois dernier, le gouvernement de l’Ontario a déposé un nouveau projet de loi sur le logement qui prévoit plusieurs initiatives visant à accélérer le processus d’approbation des municipalités en matière d’aménagement et de permettre la construction d’autres immeubles résidentiels de quatre à six étages. En outre, le gouvernement a fait passer sa taxe sur la spéculation pour les non-résidents de 15 % à 20 % en plus d’étendre son application à l’extérieur de la région élargie du Golden Horseshoe et du Sud de l’Ontario, c’est-à-dire à l’ensemble de la province.

« Bien que les acheteurs devront patienter des années pour profiter des améliorations des conditions du marché immobilier, je salue le gouvernement de l’Ontario pour ses efforts visant à accroître l’offre au moyen d’une densification nécessaire. Ces mesures susciteront l’espoir des jeunes acheteurs de Toronto d’acquérir une propriété dans les années à venir. Or, les éventuels propriétaires ne devraient pas s’attendre à ce que la hausse de la taxe imposée aux  non-résidents soulage le marché, étant donné que les acheteurs étrangers ne représentent qu’un faible pourcentage de l’ensemble du marché », a dit Karen Yolevski, chef des opérations, Services immobiliers Royal LePage Ltée.

Colombie-Britannique

La ministre des Finances de la Colombie-Britannique, Selina Robinson, a récemment annoncé la mise en place d’une nouvelle période de protection pour les acheteurs de maison au titre de la loi, qui, lorsqu’elle entrera en vigueur, accordera un délais  aux acheteurs pour reconsidérer leur offre, veiller au financement et faire inspecter la propriété.

« La nouvelle loi plonge les professionnels de l’industrie et les consommateurs dans l’incertitude. Puisque nous disposons de peu de renseignements et d’aucune orientation précise quant à l’application de cette politique et de l’organisme qui y veillera, nous pouvons difficilement prévoir les incidences de celle-ci sur le marché », a dit Randy Ryalls, directeur général, Royal LePage Sterling Realty. « Nous sommes d’avis que si la province avait collaboré avec les chefs de file de l’industrie, elle aurait pu élaborer une politique qui aurait mieux servi les intérêts de la population canadienne au moment où certains de ses membres prennent une des décisions les plus importantes de leur vie. »

M. Ryalls a ajouté que la période de réflexion  n’entraînera que d’autres retards de l’inventaire et que la proposition de l’Association immobilière de la Colombie-Britannique visant à imposer une période de réflexion obligatoire préalable à l’offre ou une inspection obligatoire de la propriété profiterait davantage aux acheteurs.

Nouvelle-Écosse

Dans son budget, la province a annoncé de nouvelles mesures fiscales qui prévoient l’imposition d’une taxe sur le transfert de titre de propriété de 5 % de la valeur de celle-ci aux non-résidents qui ne sont pas déménagés dans les six mois suivant l’acte de vente notarié. Les mesures fiscales comprennent également un impôt foncier de 2 $ par tranche de 100 $ de la valeur imposable des propriétés résidentielles appartenant à des non-résidents. Cette mesure ne s’appliquera ni aux immeubles comptant plus de trois logements ni aux propriétés louées à long terme à des Néo-Écossais.

« En dépit des dollars investis dans l’espoir d’attirer des touristes et des entreprises dans la province au fil des années et du fait que les Néo-Écossais ont besoin d’une solution pour remédier au manque de logements, le geste posé à l’égard de la population canadienne s’avère décevant », a dit Matt Honsberger, courtier et propriétaire de l’agence Royal LePage Atlantic. « Bon nombre des gens touchés sont des propriétaires de chalets provenant de l’Ontario qui profitent de la Nouvelle-Écosse et y dépensent de l’argent depuis des années. »

Tableau des prix – 1er trimestre 2022: rlp.ca/T1-2022-prix-des-maisons
Tableau des prévisions 2022:
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SURVOL PAR RÉGION

Région du Grand Montréal 

Le prix de l’agrégat d’une propriété dans la région a augmenté de 18,5 % d’une année sur l’autre, pour atteindre 571 400 $ au premier trimestre de 2022. Durant la même période, le prix médian d’une maison unifamiliale détachée a quant à lui grimpé de 19,8 % d’une année sur l’autre pour atteindre 636 200 $, tandis que celui d’un appartement en copropriété a affiché une hausse de 17,7 % d’une année sur l’autre pour atteindre 446 700 $ au premier trimestre.

À la lumière des résultats du premier trimestre 2022 qui affichent une croissance plus robuste qu’anticipée des prix des maisons, Royal LePage a rehaussé ses prévisions. L’entreprise prévoit que le prix des propriétés dans la région du Grand Montréal atteindra 599 200 $ au quatrième trimestre de 2022, soit une hausse de 12,5 % comparativement à la fin de 2021. Il s’agit d’une majoration de quatre points de pourcentage de plus que les prévisions annoncées en décembre dernier.

« Le télétravail a transformé le marché immobilier ces deux dernières années », affirme M. St-Pierre. « Autrefois l’épicentre du marché immobilier québécois, le centre de Montréal connaît depuis six trimestres consécutifs des augmentations du prix médian plus faibles que dans la périphérie. Cet étalement urbain a particulièrement favorisé les banlieues et les marchés récréatifs de la province, les acheteurs étant prêts à trouver une propriété beaucoup plus loin qu’avant pour accéder à la qualité de vie qu’ils recherchent. Nous pouvons présumer qu’à mesure que l’immigration retrouvera un rythme plus soutenu, la demande immobilière pour les quartiers du centre de Montréal reprendra. »

Dans Montréal Centre, le prix de l’agrégat d’une propriété a augmenté de 11,7 % d’une année sur l’autre, pour atteindre 692 500 $ au premier trimestre de 2022. Pendant la même période, le prix médian d’une maison unifamiliale détachée a augmenté de 14,3 % d’une année sur l’autre, pour atteindre 1 062 800 $ au premier trimestre de 2022, tandis que le prix médian d’un appartement en copropriété a augmenté de 10,7 % pour atteindre 530 900 $.

« Le télétravail a transformé le marché immobilier ces deux dernières années », affirme M. St-Pierre. « Autrefois l’épicentre du marché immobilier québécois, le centre de Montréal connaît depuis trois trimestres consécutifs des augmentations du prix médian plus faibles qu’ailleurs dans la région et dans la province. Cet étalement urbain a particulièrement favorisé les banlieues et les marchés récréatifs de la province, les acheteurs étant prêts à trouver une propriété beaucoup plus loin qu’avant pour accéder à la qualité de vie qu’ils recherchent. Nous pouvons présumer qu’à mesure que l’immigration retrouvera un rythme plus soutenu, la demande immobilière pour les quartiers du centre de Montréal reprendra. »

Royal LePage prévoit que le prix de l’agrégat des propriétés de la région du Grand Montréal connaîtra une hausse de 12,5 % au quatrième trimestre de 2022 comparativement à la même période l’an dernier. Les prévisions antérieures publiées en décembre dernier ont été révisées à la hausse pour tenir compte du dynamisme continu du marché tout au long du premier trimestre de l’année.

Tableau des prix – 1er trimestre 2022: rlp.ca/T1-2022-prix-des-maisons
Tableau des prévisions 2022:
rlp.ca/T1-2022-previsions

Région du Grand Toronto

Le prix de l’agrégat des propriétés de la région du Grand Toronto a enregistré une hausse de 27,7 % par rapport à l’année précédente pour s’établir à 1 269 900 $ au premier trimestre de 2022, correspondant à une augmentation record depuis que l’entreprise collecte les prix de l’agrégat. En examinant le marché par type de propriété, on constate que le prix médian d’une maison unifamiliale détachée a augmenté de 29,7 % d’une année sur l’autre pour grimper à 1 588 900 $, tandis que le prix médian d’une copropriété a connu une hausse de 21,7 % par rapport à la même période l’an dernier, pour se chiffrer à 764 200 $.

« La demande de logements à Toronto et dans la région environnante reste forte. Malgré une légère augmentation des inscriptions au cours des dernières semaines, une concurrence féroce subsiste encore entre les acheteurs souhaitant faire leur entrée sur le marché en amont d’autres hausses des taux d’intérêt », observe Karen Yolevski, chef de l’exploitation pour les Services immobiliers Royal LePage ltée. « Le marché des appartements en copropriété s’avère particulièrement concurrentiel en raison du retour en ville d’anciens résidents dont les activités ont repris au bureau et d’acheteurs d’une première propriété en quête d’un bien immobilier abordable. »

Mme Yolevski a remarqué une diminution du nombre d’offres que reçoivent les inscriptions dans certains secteurs, en dépit du creux historique de l’inventaire des propriétés, intensifiant ainsi la concurrence parmi les acheteurs.

Le prix de l’agrégat dans la ville de Toronto a augmenté de 20,9 % par rapport à la même période l’année précédente pour s’établir à 1 309 800 $ au premier trimestre de 2022. Au cours de la même période, le prix médian d’une maison unifamiliale détachée a grimpé de 22,8 % par rapport à l’année précédente pour atteindre 1 823 900 $, tandis que celui d’une copropriété augmentait de 17,9 % pour se fixer à 786 700 $.

Le mois dernier, le gouvernement de l’Ontario a déposé un nouveau projet de loi sur le logement qui prévoit plusieurs initiatives visant à accélérer le processus d’approbation des municipalités en matière d’aménagement et de permettre la construction d’autres immeubles résidentiels de quatre à six étages. En outre, le gouvernement a fait passer sa taxe sur la spéculation pour les non-résidents de 15 % à 20 % en plus d’étendre son application à l’extérieur de la région élargie du Golden Horseshoe et du Sud de l’Ontario, c’est-à-dire à l’ensemble de la province.

« Bien que les nouvelles politiques visant à améliorer les conditions du marché immobilier pour les acheteurs prendront des années avant de donner des résultats, je salue le gouvernement de l’Ontario pour ses efforts visant à accroître l’offre au moyen d’une densification nécessaire. Ces mesures susciteront l’espoir des jeunes acheteurs de Toronto d’acquérir une propriété dans les années à venir. Or, les éventuels propriétaires ne devraient pas s’attendre à ce que la hausse de la taxe imposée aux non-résidents soulage le marché, étant donné que les acheteurs étrangers ne représentent qu’un faible pourcentage de l’ensemble du marché », précise Mme Yolevski.

Royal LePage prévoit que le prix de l’agrégat des propriétés de la région du Grand Toronto connaîtra une hausse de 16,5 % au quatrième trimestre de 2022 comparativement à la même période l’an dernier. Les prévisions antérieures publiées en décembre dernier ont été révisées à la hausse pour tenir compte du dynamisme continu du marché tout au long du premier trimestre de l’année.

Tableau des prix – 1er trimestre 2022: rlp.ca/T1-2022-prix-des-maisons
Tableau des prévisions 2022:
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Région du Grand Vancouver

Le prix de l’agrégat des propriétés du Grand Vancouver a enregistré une hausse de 18,2 % par rapport à l’année précédente pour s’établir à 1 368 600 $ au premier trimestre de 2022. En examinant le marché par type de propriété, on constate que le prix médian d’une maison unifamiliale détachée a augmenté de 20,7 % d’une année sur l’autre pour grimper à 1 870 100 $, tandis que le prix médian d’une copropriété a connu une hausse de 20,4 % par rapport à la même période l’an dernier, pour se chiffrer à 828 400 $.

« Bien que le nombre d’inscriptions commence à augmenter, cette croissance se produit très lentement », a dit Randy Ryalls, directeur général de Royal LePage Sterling Realty. « Le marché du  Grand Vancouver demeure un marché favorable aux vendeurs et les inscriptions sont absorbées très rapidement. Les conditions du marché donnent lieu à un cercle perpétuel. La pénurie d’inventaire suscitant la réticence des vendeurs, ceux-ci retardent la mise en vente de leur propriété jusqu’à ce qu’ils soient en mesure de s’en procurer une autre. »

Le prix de l’agrégat dans la ville de Vancouver a augmenté de 14,6 % par rapport à la même période l’année précédente pour s’établir à 1 478 100 $ au premier trimestre de 2022. Au cours de la même période, le prix médian d’une maison unifamiliale détachée a grimpé de 21,7 % par rapport à l’année précédente pour atteindre 2 665 400 $, tandis que celui d’une copropriété augmentait de 7,1 % pour se fixer à 835 600 $.

M. Ryalls a récemment observé une modification importante du comportement des acheteurs, issue de l’augmentation soutenue des prix des maisons, de la hausse des taux d’intérêt et de la mise en place par le gouvernement de la Colombie-Britannique  de mesures législatives visant à accorder une période de réflexion aux acheteurs potentiels, leur offrant une pause.

« La nouvelle loi plonge les professionnels de l’industrie et les consommateurs dans l’incertitude. Puisque nous disposons de peu de renseignements et d’aucune orientation précise quant à l’application de cette politique et de l’organisme qui y veillera, nous pouvons difficilement prévoir les incidences de celle-ci sur le marché », souligne-t-il. « Nous sommes d’avis que si la province avait collaboré avec les chefs de file de l’industrie, elle aurait pu élaborer une politique qui aurait mieux servi les intérêts de la population canadienne au moment où certains de ses membres prennent une des décisions les plus importantes de leur vie. »

M. Ryalls a ajouté que la période de réflexion de cinq jours n’entraînera que d’autres retards de l’inventaire et que la proposition de l’Association immobilière de la Colombie-Britannique visant à imposer une période de réflexion obligatoire préalable à l’offre ou une inspection obligatoire de la propriété profiterait davantage aux acheteurs.

Royal LePage prévoit que le prix de l’agrégat des propriétés du Grand Vancouver connaîtra une hausse de 15,0 % au quatrième trimestre de 2022 comparativement à la même période l’an dernier. Les prévisions antérieures publiées en décembre dernier ont été révisées à la hausse pour tenir compte du dynamisme continu du marché tout au long du premier trimestre de l’année.

Tableau des prix – 1er trimestre 2022: rlp.ca/T1-2022-prix-des-maisons
Tableau des prévisions 2022:
rlp.ca/T1-2022-previsions

Ottawa

Le prix de l’agrégat dans la région d’Ottawa a augmenté de 19,9 % par rapport à la même période l’année précédente pour se chiffrer à 809 200 $ au premier trimestre de 2022,correspondant à une augmentation record depuis que l’entreprise collecte les prix de l’agrégat. En examinant le marché par type de propriété, on constate que le prix médian d’une maison unifamiliale détachée a augmenté de 20,0 % d’une année sur l’autre pour grimper à 947 600 $, tandis que le prix médian d’une copropriété a connu une hausse de 9,8 % par rapport à la même période l’an dernier, pour se chiffrer à 432 500 $.

« Le marché immobilier d’Ottawa est demeuré solide pendant le premier trimestre de l’année et je crois que cette tendance se poursuivra au printemps. La pénurie d’inscriptions et une demande croissante dans la région continuent de favoriser la hausse des prix, donnant lieu à une dynamique extrêmement concurrentielle d’acheteurs », constate Rick Eisert, dirigeant de l’agence Royal LePage Team Realty.

Il a précisé qu’en raison du marché du travail vigoureux et de la vitalité de la culture qui y règnent, Ottawa devient de plus en plus populaire, ce qui explique la demande dans cette ville. Or, cette forte demande et la hausse croissante du prix des résidences dans la région attribuable à la pénurie d’inventaire donnent du fil à retordre aux acheteurs d’une première propriété.

« Les premiers acheteurs ont du mal à se tailler une place sur le marché compte tenu de la concurrence intense. Ils décident d’emménager dans une copropriété ou acquièrent une résidence dans les secteurs plus abordables à l’extérieur de la ville, comme Almonte ou Carleton Place. Cependant, le prix des propriétés monte également en flèche dans ces secteurs », souligne M. Eisert.

Ce dirigeant d’agence prévoit un marché robuste ce printemps au fur et à mesure que des inscriptions s’ajouteront vu la construction de projets résidentiels en cours, qui pourraient contribuer à alléger la demande refoulée dans la région.

Royal LePage prévoit que le prix de l’agrégat des propriétés d’Ottawa connaîtra une hausse de 13,0 % au quatrième trimestre de 2022 comparativement à la même période l’an dernier. Les prévisions antérieures publiées en décembre dernier ont été révisées à la hausse pour tenir compte du dynamisme continu du marché tout au long du premier trimestre de l’année.

Tableau des prix – 1er trimestre 2022: rlp.ca/T1-2022-prix-des-maisons
Tableau des prévisions 2022:
rlp.ca/T1-2022-previsions

Calgary

Le prix de l’agrégat dans la région de Calgary a augmenté de 13,3 % par rapport à la même période l’année précédente pour se chiffrer à 612 000 $ au premier trimestre de 2022. En examinant le marché par type de propriété, on constate que le prix médian d’une maison unifamiliale détachée a augmenté de 18,5 % d’une année sur l’autre pour grimper à 699 000 $, tandis que le prix médian d’une copropriété a connu une hausse de 5,8 % par rapport à la même période l’an dernier, pour se chiffrer à 232 800 $.

« Le marché printanier a débuté tôt cette année et bât son plein », note Corinne Lyall, courtier immobilier et propriétaire de l’agence Royal LePage Benchmark. « Bien que depuis l’été 2020, les scénarios d’offres multiples et la vente de propriétés au-dessus du prix demandé soient devenues des pratiques courantes, le marché du logement de Calgary a continué d’enregistrer d’appréciables hausses constantes après la période de récession préalable à la pandémie. En ce printemps, l’accessibilité demeure un facteur important pour la population locale et les acheteurs à l’échelle du Canada. »

Mme Lyall a observé qu’une grande partie de la demande, surtout pour les maisons unifamiliales, émane d’acheteurs ontariens, qui comprend de jeunes familles souhaitant élire domicile à Calgary.

« Le segment des appartements en copropriété a connu une explosion de la demande depuis le début de l’année, alors que l’inventaire de maisons unifamiliales se fait rare et que les prix poursuivent leur montée en flèche, abonde-t-elle. Les copropriétés constituent une option intéressante pour les gens en quête d’une résidence abordable et je m’attends à ce que les ventes continuent d’augmenter au cours des prochains mois dans ce segment du marché. »

Royal LePage prévoit que le prix de l’agrégat des propriétés de Calgary connaîtra une hausse de 8,0 % au quatrième trimestre de 2022 comparativement à la même période l’an dernier. Les prévisions antérieures publiées en décembre dernier ont été révisées à la hausse pour tenir compte du dynamisme continu du marché tout au long du premier trimestre de l’année.

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Tableau des prévisions 2022:
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Edmonton

Le prix de l’agrégat dans la région d’Edmonton a augmenté de 6,2 % par rapport à la même période l’année précédente pour se chiffrer à 452 000 $ au premier trimestre de 2022. En examinant le marché par type de propriété, on constate que le prix médian d’une maison unifamiliale détachée a augmenté de 6,4 % d’une année sur l’autre pour grimper à 494 800 $, tandis que le prix médian d’une copropriété a connu une hausse modeste de 3,5 % par rapport à la même période l’an dernier, pour se chiffrer à 201 900 $.

D’après Tom Shearer, courtier et propriétaire de l’agence Royal LePage Noralta Real Estate, « le marché du logement d’Edmonton est resté solide au cours du premier trimestre de l’année, tandis que la demande a continué de dépasser l’inventaire de la région. Le marché du travail en plein essor et l’accessibilité relative des propriétés de la ville comparativement à celles dans les grandes agglomérations urbaines stimulent la demande des jeunes familles souhaitant s’établir dans la région. »

Il a aussi mentionné qu’Edmonton fait l’objet d’une demande auprès des investisseurs qui ont vu leurs capitaux propres augmenter dans d’autres régions du pays et qui ciblent maintenant l’Ouest canadien, accentuant ainsi la pression sur le marché du logement de la ville.

« Considérant la hausse de la demande d’acheteurs provenant de l’extérieur de la province, jumelée à la pénurie d’inventaire actuelle, je crois que le marché sera animé ce printemps et que le prix des propriétés continuera de croître dans la région », a poursuivi M. Shearer.

Il a souligné qu’il ne s’attend pas à ce que la remontée des taux hypothécaires influence grandement le marché du logement à Edmonton, étant donné que les consommateurs ont encore accès à des options de financement et des prix abordables dans la province.

Royal LePage prévoit que le prix de l’agrégat des propriétés d’Edmonton connaîtra une hausse de 9,0 % au quatrième trimestre de 2022 comparativement à la même période l’an dernier. Les prévisions antérieures publiées en décembre dernier ont été révisées à la hausse pour tenir compte du dynamisme continu du marché tout au long du premier trimestre de l’année.

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Tableau des prévisions 2022:
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Halifax

Le prix de l’agrégat dans la région de Halifax a augmenté de 14,5 % par rapport à la même période l’année précédente pour se chiffrer à 509 500 $ au premier trimestre de 2022. En examinant le marché par type de propriété, on observe que le prix médian d’une maison détachée unifamiliale a augmenté de 16,7 % d’une année sur l’autre pour grimper à 569 100 $, tandis que le prix médian d’une copropriété a connu une hausse de 21,2 % par rapport à la même période l’an dernier, pour se chiffrer à 411 000 $.

« Nous constatons l’augmentation printanière habituelle des inscriptions. Toutefois, les propriétés se vendent après avoir été affichées brièvement sur le marché. Les acheteurs qui souhaitent acquérir une propriété ce printemps doivent savoir précisément ce qu’ils recherchent en vue de parvenir rapidement à leurs fins », souligne Matt Honsberger, courtier et propriétaire de l’agence Royal LePage Atlantic. « Malgré la pénurie d’inventaire, la hausse des prix se poursuivra l’année prochaine. »

Dans son budget, la province a annoncé de nouvelles mesures fiscales qui prévoient l’imposition d’une taxe sur le transfert de titre de propriété de 5 % de la valeur de celle-ci aux non-résidents qui ne sont pas déménagés dans les six mois suivant l’acte de vente notarié. Les mesures fiscales comprennent également un impôt foncier de 2 $ par tranche de 100 $ de la valeur imposable des propriétés résidentielles appartenant à des non-résidents. Cette mesure ne s’appliquera ni aux immeubles comptant plus de trois logements ni aux propriétés louées à long terme à des Néo-Écossais.

« En dépit des dollars investis dans l’espoir d’attirer des touristes et des entreprises dans la province au fil des années et du fait que les Néo-Écossais ont besoin d’une solution pour remédier au manque de logements, le geste posé à l’égard de la population canadienne s’avère décevant, ajoute M. Honsberger. Bon nombre des gens touchés sont des propriétaires de chalets provenant de l’Ontario qui profitent de la Nouvelle-Écosse et y dépensent de l’argent depuis des années. »

Il a précisé qu’en plus de la pénurie d’inventaire occasionnée par la migration interprovinciale, les acheteurs locaux sont aussi aux prises avec ce problème.

« La pénurie d’inventaire nuit à la prospérité d’Halifax. La région n’était pas prête à affronter la demande accrue d’acheteurs, mais il n’est jamais trop tard pour agir et construire davantage de propriétés », renchérit-il.

Royal LePage prévoit que le prix de l’agrégat des propriétés de Halifax connaîtra une hausse de 12,5 % au quatrième trimestre de 2022 comparativement à la même période l’an dernier. Les prévisions antérieures publiées en décembre dernier ont été révisées à la hausse pour tenir compte du dynamisme continu du marché tout au long du premier trimestre de l’année.

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Winnipeg

Le prix de l’agrégat dans la région de Winnipeg a augmenté de 16,3 % par rapport à la même période l’année précédente pour se chiffrer à 387 900 $ au premier trimestre de 2022, correspondant à une augmentation record depuis que l’entreprise collecte les prix de l’agrégat. En examinant le marché par type de propriété, on constate que le prix médian d’une maison unifamiliale détachée a augmenté de 11,4 % d’une année sur l’autre pour grimper à 425 600 $, tandis que le prix médian d’une copropriété a connu une hausse de 8,4 % par rapport à la même période l’an dernier, pour se chiffrer à 243 900 $.

« C’est la première fois que je vois la valeur médiane d’une maison unifamiliale dépasser 400 000 $ à Winnipeg », révèle Michael Froese, courtier immobilier et directeur de l’agence Royal LePage Prime Real Estate. « La concurrence est très féroce parmi les acheteurs. La ville connaît toujours une pénurie d’inscriptions, ce qui entraîne la hausse des prix et les acheteurs se sentent pressés d’acheter une propriété avant une autre remontée des taux d’intérêt. Le mois de mars a établi un nouveau record avec 67 % des maisons s’étant vendues au-dessus du prix demandé, représentant une hausse de 14 % depuis mars 2021. »

M. Froese a remarqué que la demande pour les copropriétés a continué d’être forte, tandis que les acheteurs d’une première propriété souhaitent faire leur entrée sur le marché immobilier de n’importe quelle manière à leur portée.

« Pour bien des gens, les appartements en copropriété constituent le juste équilibre entre abordabilité et localisation idéale », a-t-il enchaîné. « Cette option est plus accessible qu’une maison détachée ou jumelée, et, la plupart du temps, ces appartements sont situés près du centre-ville, ce qui plaît aux jeunes professionnels et aux gens qui doivent se rendre fréquemment au bureau. Je pense que ce segment connaîtra encore une forte demande ce printemps et cet été. »

Royal LePage prévoit que le prix de l’agrégat des propriétés de Winnipeg connaîtra une hausse de 8,0 % au quatrième trimestre de 2022 comparativement à la même période l’an dernier. Les prévisions antérieures publiées en décembre dernier ont été révisées à la hausse pour tenir compte du dynamisme continu du marché tout au long du premier trimestre de l’année.

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Regina 

Le prix de l’agrégat dans la région de Regina a augmenté de 11,8 % par rapport à la même période l’année précédente pour se chiffrer à 361 200 $ au premier trimestre de 2022, correspondant à une augmentation record depuis que l’entreprise collecte les prix de l’agrégat. En examinant le marché par type de propriété, on constate que le prix médian d’une maison unifamiliale détachée a augmenté de 13,4 % d’une année sur l’autre pour grimper à 392 500 $, tandis que le prix médian d’une copropriété a connu une hausse de 3,0 % par rapport à la même période l’an dernier, pour se chiffrer à 203 900 $.

« Nous avons constaté une légère hausse des nouvelles inscriptions au cours des dernières semaines, ce qui est prévisible alors que la température se réchauffe. Cela dit, l’inventaire est trop faible pour soutenir la demande croissante », avance Mike Duggleby, dirigeant-propriétaire de l’agence Royal LePage Regina Realty. « Le manque d’inscriptions se fait sentir dans tous les segments du marché, plaçant ainsi les acheteurs d’une première propriété devant une impasse. L’absence de propriétés de qualité supérieure à la portée des vendeurs empêche les nouveaux acheteurs d’acquérir une première propriété modeste. »

M. Duggleby a précisé que les activités ont stagné lors du dernier trimestre, bien qu’il s’attende à ce que le marché s’anime ce printemps avec l’arrivée de nouvelles inscriptions.

Royal LePage prévoit que le prix de l’agrégat des propriétés de Regina connaîtra une hausse de 7,0 % au quatrième trimestre de 2022 comparativement à la même période l’an dernier. Les prévisions antérieures publiées en décembre dernier ont été révisées à la hausse pour tenir compte du dynamisme continu du marché tout au long du premier trimestre de l’année.

Tableau des prix – 1er trimestre 2022: rlp.ca/T1-2022-prix-des-maisons
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L’Étude sur le prix des maisons de Royal LePage présente des renseignements sur les trois types d’habitation les plus courants, à l’échelle nationale et dans les 62 plus grands marchés immobiliers au pays. Les valeurs des maisons présentées dans l’Étude sur le prix des maisons de Royal LePage sont fondées sur la Synthèse du marché immobilier canadien de Royal LePage, un document produit chaque trimestre à l’aide des données de l’entreprise, en plus des données analytiques de sa société sœur, RPS Solutions pour propriétés résidentielles, la source de confiance pour les renseignements et les analyses sur le secteur immobilier résidentiel au Canada. Les commentaires sur l’immobilier et les prévisions quant aux valeurs sont fournis par des spécialistes en immobilier résidentiel de Royal LePage à partir de leurs opinions et de leur connaissance du marché.

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[1]  L’agrégat des prix est calculé à partir de la moyenne pondérée de la valeur médiane de tous les types de propriétés étudiés. Les données sont fournies par RPS Solutions pour propriétés résidentielles et comprennent des transactions du marché de la revente ainsi que des nouvelles constructions.